Question orale au Ministre Gilkinet sur la politique tarifaire des parkings SNCB
Monsieur le Ministre,
La crise du Covid-19 a mis une grande partie des employés belges en télétravail pendant plus d’un an. Le télétravail a maintenant trouvé sa place dans notre manière de travailler et s’implante à raison de quelques jours par semaine. Bien que ce soit positif en matière d’écologie, certains s’en trouvent toutefois pénalisés. C’est ainsi le cas des navetteurs en télétravail à temps partiel qui doivent maintenant payer plus cher le prix du parking à la SNCB que lorsqu’ils travaillent à 100 % en présentiel. En effet, travaillant à temps partiel, les navetteurs n’ont plus droit à un abonnement parking annuel ni même un abonnement adapté à leur abonnement de train. La SNCB invoque l’argument de garantir une place aux abonnés.
Voici donc mes questions :
– La SNCB a-t-elle prévu de proposer des formules adaptées aux nouvelles réalités du télétravail en matière d’offre de parking ?
– Des expériences pilotes sont-elles prévues en ce sens à l’instar du projet de flex abonnement ?
– Quelle a été l’évolution du taux de saturation des parkings ces derniers mois dans les principales gares du pays ?
Réponse du Ministre Gilkinet (Commission Mobilité du 05.10.21):